Pédagogie, enfant & stress

L’approche sophro-pédagogique :

 

Depuis 2003, j’ai fortement mis l’accent, dans ma pratique, sur la sophro-pédagogie.

Je me suis formée spécifiquement à l’approche de l’enfant et de l’adolescent et à leurs problématiques spécifiques.

Ma manière de travailler ainsi permet de renforcer les points forts de l’enfant ou de l’adolescent et de l’aider à prendre confiance en lui, parfois retrouver l’estime de soi qui peut faire défaut. Nous pouvons envisager dans un second temps de trouver ainsi de nouvelles ressources accessibles, parce que l’énergie utilisée pour « tenir » dans un équilibre instable n’est plus monopolisée (un équilibre meilleur a été trouvé) et de nouvelles capacités voient ainsi le jour, émergent, et peuvent être exploitées par l’enfant ou l’adolescent.

Le révélateur :
L’enfant est en souffrance pour une raison non exprimée par des mots et le révélateur de sa souffrance est l’école (ses résultats scolaires ou les réactions à propos de son comportement à l’école) ou son corps (somatisation).

Le stress familial :
Les parents ou un des parents sont dépassés par leur propre stress et il « déborde » sur les enfants ou un des enfants. Ou il y a un problème conjugal (parfois l’un entraîne l’autre). Bien sûr, la vie n’est pas une mer d’huile, mais s’il y a grosse tempête pendant trop longtemps, il faut voir les choses en face et réagir…

L’enfant timide :
C’est un enfant souvent réceptif qui se trouve bloqué lorsqu’il perçoit certains signaux communicationnels auxquels il donne sens avec justesse mais qui paralysent sa confiance en lui.

L’enfant sensible :
Les apprentissages de l’enfant sensible peuvent être entravés par des cristallisations psycho-affectives négatives : c’est un enfant qui accorde une immense importance aux relations avec les autres et il faut que tout soit parfait à cet égard avant d’envisager de pouvoir aborder les devoirs et les leçons ou simplement l’écoute en classe.

Le lien :
Il est implicite que le besoin fondamental, chez l’enfant, de liens nourriciers positifs, est, en général, assuré par les deux parents de manière complémentaire. Par rapport à ce symbole « icône », les situations pratiques sont multiples où existent des particularités, singularités, originalités qui ont des répercussions sur le lien, et, avec lui, sur le développement de l’enfant et ses apprentissages divers (scolaires, relationnels…).
Comprendre cela permet de pouvoir envisager de chercher une aide sans pour autant devoir considérer que l’on est mauvais parent : cela permet juste de reconnaître, d’identifier l’endroit où le bât blesse sur le plan intra-familial, d’en endosser la responsabilité, et ainsi, de permettre à l’enfant, le temps d’avoir fait le nécessaire pour soi-même, de continuer son chemin sans en subir les conséquences.

L’enfant :
L’actualité nous a montré la dernière décennie des situations sociétales et démographiques voire politiques qui témoignent de mouvements humains ne pouvant qu’avoir des répercussions culturelles pour le moins sur les personnes adultes et ainsi sur les familles, mais aussi sur la petite enfance, l’enfance, l’adolescence, les jeunes adultes. Là aussi, avoir conscience de la difficulté rencontrée, c’est déjà commencer à la résoudre…

L’adolescent :
Chez l’adolescent, alors qu’au plan strict de l’apprentissage, le jeune se spécialise déjà un peu, le rapport au groupe, fondateur pour l’avenir de la vie d’adulte, est fondamental. Il est en lien avec une phase de son développement lié à la maturation de son identité sexuée. Cette phase peut se faire suffisamment harmonieusement ou, au contraire, interférer avec les apprentissages en les perturbant.
Le phénomène numérique et spécialement le harcèlement informatique par les réseaux sociaux (cyber-bullying) est symptomatique, chez l’adolescent, de notre société actuelle. L’aider à s’y positionner, en dépassant, par exemple, avec succès ce genre de pression groupale est fondamental.
Des facteurs plus extérieurs au développement proprement dit peuvent être perturbateurs et susciter une demande d’aide (situation familiale, problème de santé, …). Comme chez l’enfant, souvent la situation scolaire révèle l’impact perturbateur en manifestant, par la contre-performance scolaire, la souffrance que l’on tente, sans suffisamment de succès, de dépasser. C’est l’occasion de débuter un traitement en prenant du temps pour traiter ce qui a été négligé.

Le révélateur :
L’enfant est en souffrance pour une raison non exprimée par des mots et le révélateur de sa souffrance est l’école (ses résultats scolaires ou les réactions à propos de son comportement à l’école) ou son corps (somatisation).

Le stress familial :
Les parents ou un des parents sont dépassés par leur propre stress et il « déborde » sur les enfants ou un des enfants. Ou il y a un problème conjugal (parfois l’un entraîne l’autre). Bien sûr, la vie n’est pas une mer d’huile, mais s’il y a grosse tempête pendant trop longtemps, il faut voir les choses en face et réagir…

L’enfant timide :
C’est un enfant souvent réceptif qui se trouve bloqué lorsqu’il perçoit certains signaux communicationnels auxquels il donne sens avec justesse mais qui paralysent sa confiance en lui.

L’enfant sensible :
Les apprentissages de l’enfant sensible peuvent être entravés par des cristallisations psycho-affectives négatives : c’est un enfant qui accorde une immense importance aux relations avec les autres et il faut que tout soit parfait à cet égard avant d’envisager de pouvoir aborder les devoirs et les leçons ou simplement l’écoute en classe.

Le lien :
Il est implicite que le besoin fondamental, chez l’enfant, de liens nourriciers positifs, est, en général, assuré par les deux parents de manière complémentaire. Par rapport à ce symbole « icône », les situations pratiques sont multiples où existent des particularités, singularités, originalités qui ont des répercussions sur le lien, et, avec lui, sur le développement de l’enfant et ses apprentissages divers (scolaires, relationnels…).
Comprendre cela permet de pouvoir envisager de chercher une aide sans pour autant devoir considérer que l’on est mauvais parent : cela permet juste de reconnaître, d’identifier l’endroit où le bât blesse sur le plan intra-familial, d’en endosser la responsabilité, et ainsi, de permettre à l’enfant, le temps d’avoir fait le nécessaire pour soi-même, de continuer son chemin sans en subir les conséquences.

L’enfant :
L’actualité nous a montré la dernière décennie des situations sociétales et démographiques voire politiques qui témoignent de mouvements humains ne pouvant qu’avoir des répercussions culturelles pour le moins sur les personnes adultes et ainsi sur les familles, mais aussi sur la petite enfance, l’enfance, l’adolescence, les jeunes adultes. Là aussi, avoir conscience de la difficulté rencontrée, c’est déjà commencer à la résoudre…

L’adolescent :
Chez l’adolescent, alors qu’au plan strict de l’apprentissage, le jeune se spécialise déjà un peu, le rapport au groupe, fondateur pour l’avenir de la vie d’adulte, est fondamental. Il est en lien avec une phase de son développement lié à la maturation de son identité sexuée. Cette phase peut se faire suffisamment harmonieusement ou, au contraire, interférer avec les apprentissages en les perturbant.
Le phénomène numérique et spécialement le harcèlement informatique par les réseaux sociaux (cyber-bullying) est symptomatique, chez l’adolescent, de notre société actuelle. L’aider à s’y positionner, en dépassant, par exemple, avec succès ce genre de pression groupale est fondamental.
Des facteurs plus extérieurs au développement proprement dit peuvent être perturbateurs et susciter une demande d’aide (situation familiale, problème de santé, …). Comme chez l’enfant, souvent la situation scolaire révèle l’impact perturbateur en manifestant, par la contre-performance scolaire, la souffrance que l’on tente, sans suffisamment de succès, de dépasser. C’est l’occasion de débuter un traitement en prenant du temps pour traiter ce qui a été négligé.

Les apprentissages proprement dits :

Dans mon travail avec les jeunes, je n’aborde en général pas les apprentissages proprement dits.

Depuis 2019, j’ai cherché à me rallier à un réseau de cours particulier pour l’enseignement fondamental parce que parfois, cela peut être une excellente chose d’associer la sophro-pédagogie avec un travail direct sur l’apprentissage. Je suis donc aussi professeur à la « Student Academy » pour l’enseignement fondamental ce qui s’avère sans aucun doute un complément intéressant.

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